L’affaire Sears décryptée dans un chapitre de collectif

Avec Charles Tremblay-Potvin, je vais publier un chapitre dans un ouvrage collectif consacré au Droit des aînés qui va paraître chez Yvon Blais. Ce chapitre soumis à l’éditeur est intitulé : « Les retraités sacrifiés à l’aune de la primauté actionnariale ? ».

Résumé

En octobre 2017, l’entreprise Sears Canada a annoncé la fermeture de l’ensemble de ses établissements au pays, procédant ainsi au licenciement de près de 12 000 salariés et à la liquidation du régime de retraite qui souffrait alors d’une sous-capitalisation de près de 270 millions de dollars. Pourtant, les actionnaires de l’entreprise se sont vus octroyer des milliards de dollars en dividendes au cours des dernières années, alors que les retraités devront possiblement subir une baisse substantielle de leurs prestations de retraite. Dans un tel contexte, quelle devrait être la protection juridique accordée aux prestations de retraite ? Le présent article tente d’apporter certains éléments de réponse à cette question à travers l’éclairage de la théorie des parties prenantes dans la gouvernance d’entreprise.

Ce contenu a été mis à jour le 27 janvier 2020 à 0 h 16 min.

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